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gloire a dieu
Par Anonyme, le 24.02.2021
jai besion pour mes trois enfants
Par Anonyme, le 13.02.2021
hello,
i love this tree!
it helped me with my art hmw.
Par Anonyme, le 06.02.2021
magnifique !! y aurait-il un moyen d'acquérir cette toile ?
Par Anonyme, le 21.12.2020
silva te souhaite un très joyeux anniversaire mon cœur ♥️
Par Anonyme, le 16.12.2020
Date de création : 03.01.2011
Dernière mise à jour :
19.03.2020
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Les travailleurs de la lumière sont des âmes qui portent le fort désir intérieur d’étendre la lumière (connaissance, liberté et amour de soi) sur la terre.
Ils ressentent ceci comme leur mission. Ils sont souvent attirés vers la spiritualité et le travail thérapeutique sous une forme ou une autre.
Étant donné qu’ils ressentent profondément leur mission, les travailleurs de la lumière se sentent souvent différents des autres gens. En leur faisant rencontrer différentes sortes d’obstacles sur leur voie, la vie les incite à trouver leur sentier personnel, unique.
Les travailleurs de la lumière sont presque toujours des individus solitaires, ne s’intégrant pas aux structures sociétales figées.
Une remarque sur la notion de ’travailleur de la lumière’
Le mot travailleur de la lumière peut évoquer un malentendu, puisqu’il sépare un groupe d’âmes particulier du reste. En outre, il peut donner l’impression de suggérer que ce groupe particulier est d’une manière ou d’une autre supérieur aux autres, c’est-à-dire ceux qui ne travaillent pas pour la lumière.
Toute cette ligne de pensée est en désaccord avec la nature même et l’intention du travail de lumière. Laissez-nous exposer brièvement ce qui ne va pas avec cela.
D’abord, les revendications de supériorité sont généralement peu éclairées. Elles bloquent votre croissance vers une conscience libre et aimante.
Deuxièmement, les travailleurs de la Lumière ne sont pas ’mieux’ ou ’plus élevés’ que quiconque. Ils ont simplement une histoire différente que celle de ceux qui n’appartiennent pas à ce groupe. À cause de cette histoire particulière, dont nous parlerons plus tard, ils ont certaines caractéristiques psychologiques qui les distinguent comme un groupe.
Troisièmement, chaque âme devient un travailleur de la lumière à un stade de son déploiement, l’étiquette travailleur de la lumière n’est donc pas réservée à un nombre limité d’âmes.
La raison pour laquelle nous utilisons le mot “ travailleur de la lumière ” (malgré les malentendus possibles) c’est qu’il contient des associations et remue des souvenirs en vous qui vous aident à vous souvenir. Il y a un avantage pratique à cela aussi, puisque le terme est souvent utilisé dans votre littérature spirituelle actuelle.
Racines historiques des travailleurs de la lumière
Les travailleurs de la lumière portent en eux la capacité d’atteindre l’ éveil spirituel plus vite que d’autres gens. Ils portent des graines intérieures pour un éveil spirituel rapide.
A cause de cela, ils semblent être sur une piste plus rapide que la plupart des personnes, s’ils choisissent que ce soit ainsi. Encore une fois, ce n’est pas parce que les travailleurs de la lumière sont d’une quelconque façon des âmes ’meilleures’ ou ’plus élevées’.
Toutefois, elles sont plus vieilles que la plupart des âmes incarnées à présent sur la terre. Il vaudrait mieux comprendre cette antériorité de l’âge du point de vue de ’ l’expérience’, plutôt que du ’temps’.
Les travailleurs de la lumière ont atteint un stade particulier d’illumination, avant de s’incarner sur terre et de commencer leur mission. Ils choisissent consciemment de rentrer dans ’ la roue de vie karmique et de connaître toutes les formes de confusion et d’illusion qui vont avec.
Ils le font pour comprendre complètement l’expérience de la terre. Cela leur permettra de réaliser leur mission.
C’est seulement en passant eux-mêmes par tous les stades de l’ignorance et de l’illusion qu’ils posséderont finalement les outils nécessaires pour aider les autres à accomplir un état de vrai bonheur et d’illumination.
Pourquoi les travailleurs de la lumière poursuivent-ils cette mission sincère d’aider l’humanité, et ce faisant, courent ainsi le risque de se perdre eux-mêmes pendant une éternité dans la lourdeur et la confusion de la vie terrestre ? C’est une question que nous traiterons abondamment plus tard.
Ce que nous pouvons dire maintenant, c’est que cela concerne un type de karma galactique. Les travailleurs de la lumière ont été là à la veille de la naissance de l’humanité sur la terre. Ils ont pris part à la création de l’homme. Ils étaient les co-créateurs de l’humanité.
Dans le processus de création, ils ont fait des choix et ont agi selon des procédés qu’ils en sont venus à regretter profondément ensuite. Ils sont ici maintenant pour rattraper leurs décisions d’alors.
Avant d’entrer dans cette histoire particulière, nous allons nommer quelques caractéristiques des âmes des travailleurs de lumière, qui les distinguent généralement des autres gens.
Ces traits psychologiques n’appartiennent pas uniquement aux travailleurs de la lumière et les travailleurs de la lumière ne se reconnaîtront pas tous dans toutes ces caractéristiques. En dressant cette liste, nous voulons simplement donner les grandes lignes de l’identité psychologique du travailleur de la lumière.
En ce qui concerne les caractéristiques, le comportement extérieur est de moins d’importance que la motivation intérieure ou le ressenti de l’intention. Ce que vous ressentez à l’intérieur est plus important que ce que vous montrez à l’extérieur.
Caractéristiques psychologiques des travailleurs de la lumière :
- Très tôt dans leur vie, ils sentent qu’ils sont différents. Plus souvent que le contraire, ils se sentent isolés par rapport aux autres, solitaires et mal compris. Ils deviendront souvent des individualistes, qui devront trouver leurs voies uniques dans la vie.
- Ils ont des problèmes pour se sentir chez eux dans les emplois traditionnels et-ou les structures organisées. Les travailleurs de la lumière sont naturellement contre l’autorité, ce qui signifie qu’ils s’opposent naturellement aux décisions ou aux valeurs basées uniquement sur le pouvoir ou la hiérarchie. Ce trait contestataire est présent même lorsqu’ils semblent timides et réservés. C’est relié à l’ essence même de leur mission ici sur la terre.
- Les travailleurs de la lumière se sentent attirés à aider les gens, comme thérapeutes ou enseignants. Ils peuvent être psychologues, guérisseurs, enseignants, infirmiers etc. Même si leur profession ne consiste pas à aider les gens d’ une manière directe, l’intention de contribuer au plus haut bien de l’humanité est clairement présente.
- Leur vision de la vie est colorée par un sens spirituel concernant la façon dont toutes les choses sont reliées ensemble. Consciemment ou inconsciemment ils portent en eux des souvenirs des sphères de lumière non-terrestres. Ils peuvent – de temps à autre – se sentir nostalgiques de ces sphères et comme un étranger sur terre.
- Ils honorent et respectent profondément la vie, ce qui se manifeste souvent par l’ amour des animaux et une inquiétude pour l’environnement. La destruction de parties du royaume végétal et animal sur la terre par l’action de l’homme provoque en eux des sentiments profonds de perte et de chagrin.
- Ils sont gentils, sensibles et déterminés. Ils peuvent avoir un problème pour faire face à comportement agressif et généralement ils connaissent des difficultés pour se défendre. Ils peuvent être rêveurs, naïfs ou extrêmement idéalistes, et aussi pas suffisamment enracinés, c-a-d terre à terre. Parce qu’ils attrapent facilement les sentiments (négatifs) et les humeurs des gens autour d’eux, il est important pour eux de passer régulièrement du temps seuls. Ca leur permet de faire la distinction entre leurs propres sentiments et ceux des autres. Ils ont besoin de temps de solitude pour établir la communication avec eux et avec la Terre Mère.
- Ils ont vécu de nombreuses vies sur terre durant lesquelles ils ont été profondément impliqués dans la spiritualité et-ou la religion. Ils ont été massivement présents dans les vieux ordres religieux de votre passé, en tant que moines, religieuses, ermites, médiums, sorcières, shamans, prêtres, prêtresses, et cetera. Ce sont eux qui établissaient un pont entre le visible et l’invisible, entre le contexte quotidien de la vie terrestre et les royaumes mystérieux de l’au-delà, de Dieu et des esprits du bien et du mal. Pour réaliser ce rôle, ils étaient souvent rejetés et persécutés. Beaucoup d’entre vous ont été condamnés au pilori pour les dons que vous possédiez. Les traumas de persécution ont laissé des traces profondes dans la mémoire de votre âme. Cela peut à présent se manifester comme une peur de vous enraciner complètement, c’est-à-dire une peur d’être vraiment présent, parce que vous vous souvenez d’avoir été sauvagement attaqués en étant qui vous étiez.
Se perdre : le piège du travailleur de lumière
Les travailleurs de la lumière peuvent être pris dans les mêmes états d’ignorance et d’illusion que n’importe qui d’autre. Bien qu’ils démarrent à partir d’un point de départ différent, leur capacité pour vaincre la peur et l’illusion afin d’atteindre l’illumination peut être bloquée par nombre de facteurs. (Par illumination nous voulons dire l’état d’être où vous réalisez que vous êtes essentiellement un être de Lumière, que vous êtes capables de choisir la lumière à tout moment).
Un des facteurs bloquant la route de l’illumination pour les travailleurs de la lumière est le fait qu’ils portent un lourd fardeau karmique, ce qui peut les détourner de leur chemin pendant assez longtemps. Comme nous l’avons exposé auparavant, ce fardeau karmique est rattaché aux décisions qu’ils ont prises autrefois en ce qui concerne l’humanité dans ses prémisses. Ces décisions étaient essentiellement irrespectueuses de la vie . Tous les travailleurs de la lumière vivant maintenant souhaitent arranger certaines de leurs fautes passées, restaurer et chérir ce qui a été détruit à cause de ça.
Quand les travailleurs de la lumière auront frayé leur chemin à travers le fardeau karmique, ce qui signifie laisser partir le besoin de pouvoir sous toutes ses formes, ils se rendront compte qu’ils sont essentiellement des êtres de lumière. Cela leur permettra d’aider les autres à trouver leur propre vrai moi. Mais d’abord ils doivent passer eux-mêmes par ce processus. Cela demande généralement une grande détermination et de la persévérance au niveau intérieur. À cause des valeurs et des jugements nourris à leur encontre par la société, ce qui va souvent contre leurs propres impulsions naturelles, beaucoup de travailleurs de la lumière se sont perdus, finissant par douter d’eux-mêmes, dans le déni de soi et même la dépression et le désespoir. C’est parce qu’ils ne peuvent pas s’inscrire dans l’ordre établi et ils en concluent qu’il doit y avoir quelque chose qui va terriblement mal en eux.
Arrivés à ce stade, les travailleurs de la lumière doivent cesser de chercher la validation de l’extérieur, des parents, des amis ou de la société. À un certain moment, vous (qui êtes en train de lire ceci) devrez faire le saut considérable vers la vraie puissance, ce qui veut dire réellement croire en vous, vraiment honorer et agir conformément à vos inclinations naturelles et à votre connaissance intérieure.
Nous vous invitons à agir ainsi et nous vous assurons que nous serons avec vous à chaque pas du chemin – tout comme vous serez là pour d’autres sur leur chemin, dans un futur pas très lointain.
Pamela Kribbe
Source: © Pamela Kribbe
www.jeshua.net

Par Doreen Virtue : » Quelle est ma mission de vie ? » est une des questions que l’on me pose le plus souvent.
Nos anges connaissent la réponse à cette question et ils souhaitent nous apporter leur guidance, encouragement, et soutien concernant ce sujet.
Lorsque quelqu’un demande, » Quelle est ma mission de vie ? « , la question sous-jacente pourrait être une des suivantes :
Quelle carrière serait la plus épanouissante ?
Puis-je quitter mon poste actuel et être financièrement en sécurité en suivant le désir de mon cœur ?
Suis-je prêt à être mon propre employeur ?
Quelle est ma véritable passion celle qui donnera enthousiasme et sens à ma vie ?
Ces questions sont merveilleuses et très importantes à considérer et nos anges peuvent définitivement nous donner des réponses. En particulier, l’Archange Michael peut nous fournir les réponses à ces questions. Michaël connaît le contenu de nos contrats d’âme et des archives akashiques (Livre de la Vie). Il peut nous aider à nous rappeler pourquoi nous sommes venus sur terre, et la mission que nous avons dans nos vies. Il peut aussi nous guider sur la prochaine étape à prendre pour l’accomplissement de nos rêves.
Michael peut aussi nous donner le courage de changer de carrière, afin que nous soyons alignés avec notre vérité personnelle. Le Plan Divin de Paix appelle chacun de nous à travailler dans des domaines où nous nous sentons personnellement en phase et passionnés. Vous savez que vous avez trouvé votre objectif de vie si vous vous réveillez chaque matin content de votre travail ! Les portes s’ouvrent plus facilement pour ceux qui travaillent dans le domaine de leur objectif de vie. Il y a beaucoup de signes, à la fois venant de vos sentiments et du feed-back de votre environnement, pour vous faire comprendre que vous êtes dans votre objectif.
Avoir une carrière alignée avec votre objectif amène la santé dans tous les domaines : émotionnelle, physique, spirituelle, relations, et financière. Avec l’approche de la Nouvelle Année, c’est maintenant le moment parfait de déclarer votre intention de manifester une carrière en alignement avec votre objectif de vie.
Les anges m’ont appris que notre objectif de vie est la forme d’amour que nous choisissons d’enseigner au cours de cette vie. Chacun de nous est ici pour se rappeler et enseigner l’amour divin. La forme dont nous enseignons l’amour diffère pour chacun de nous. D’une manière virtuelle toutes les carrières offrent des occasions d’enseigner l’amour, d’une manière ou d’une autre. Ceci peut impliquer la création de la joie ou du rire à travers les arts ou l’artisanat ; de pratiquer des thérapies, de soutenir une cause à laquelle vous croyez ; d’aider les enfants, l’environnement, les animaux, ou quelque groupe spécifique, d’écrire et d’enseigner, de méditer et prier ; et un nombre infini d’autres possibilités.
L’objectif de vie de chacun est tout aussi important, de la même manière que tous les musiciens dans un orchestre sont nécessaires. Personne ne peut vous battre sur votre objectif, donc vous n’avez pas besoin de vous soucier d’être usurpé par quelqu’un d’autre. Dans les Cieux, il n’existe pas de compétition ou de temps.
La Joie est la clé. Si quelque chose vous donne de la joie, alors vous êtes en train d’apporter une importante contribution au monde. La joie nous élève tous, et contribue au processus collectif mondial d’ascension. Quoique vous fassiez, cherchez les manières d’infuser tous vos moments de vie par la joie.
Alors que l’énergie des soucis n’est pas bonne pour la santé, il est important de ne pas s’inquiéter sur votre objectif de vie. Les anges disent, » Au lieu de vous inquiéter, mettez le même temps et la même énergie à demander notre aide ! »
Avant de vous endormir, demandez à l’Archange Michael de clarifier toute question ou idée que vous avez à propos de l’objectif de votre vie. Il vous donnera les réponses pendant votre sommeil, c’est le moment où nous sommes les plus réceptifs à recevoir l’aide angélique et la guérison.
C’est aussi vraiment efficace de communiquer avec Michael à travers l’écriture. Prenez un bloc de papier, allez dans un lieu calme, et écrivez à Michaël une question en haut de la page. Il vous répondra sûrement, car il nous répond à tous. Écrivez toutes les impressions qui vous viennent, que ce soit des sentiments, pensées, paroles ou visions. Bientôt, vous aurez des conversations par écrit très claires avec Michael.
L’Archange Michael dit : » L’objectif de votre vie est de servir d’une manière qui vous amène une grande joie à vous et aux autres « . Ne vous inquiétez pas de trouver votre objectif. A la place, focalisez-vous sur le fait de servir un objectif, et ensuite l’objectif vous servira « .
Transmis par Angels And Us et traduit par Renée Royer-Salles
© 2013, Le Jardin de Joeliah. Nétiquette : Laissez pousser les plants quelques jours puis partagez en toute liberté en citant la source : lejardindejoeliah.com

Transmis par Joeliah le 23 - décembre - 2013
Cette période de fin d’année est transformatrice en profondeur. C’est le juste moment pour aller extirper les vieux comportements habituels restrictifs pour son évolution.
C’est le bon moment pour se pardonner, pour pardonner aux autres, pour libérer toute son histoire et celle de ses ancêtres, de la société en général mais surtout, pour annuler et effacer complètement les programmes qui ont entraîné ces mauvaises habitudes, ces erreurs, ces vices et tout ce qui colle à la dimension de la séparation et de la dévalorisation intérieure lumineuse.
C’est le juste moment pour dire STOP à tout ce qui dérange.
Demander pardon et recommencer, même quelques semaines ou mois plus tard, fait avancer à la lenteur d’un escargot… tant que l’humain ne décide pas de changer fermement. Alors que demander pardon et libérer complètement et définitivement ses habitudes en se surveillant constamment et en se tournant vers une nouvelle vie, libérer et aimer son nouveau soi, ce nouvel être libre, fait voler comme un aigle dans le ciel pur de son âme.
Tout devient clair, facile et la vie prend une nouvelle tournure.
Se pardonner et pardonner les autres, c’est se et leur donner l’autorisation d’être différents. C’est aussi se libérer de ce qui a pu entrainer ce qu’ils nous ont fait. Changer les programmes qui ont attiré cela.
Se brûler une fois la main quand on ne connait pas le danger du feu, c’est possible. Cela fait plus ou moins mal selon notre vigilance à la retirer rapidement à la première douleur.
Retenter une deuxième fois l’expérience en approchant le plus possible pour connaitre ses limites, ça peut faire un peu mal mais fait enregistrer dans notre ADN le mot danger.
Il n’est point besoin de nourrir le feu pour s’y jeter dedans et se plaindre après ! C’est en allant libérer les peurs et les programmes qui tournent en permanence dans notre subconscient que l’on peut guérir et libérer les autres.
Qui n’a jamais prêté un objet auquel il tient tant avec la promesse qu’il lui soit rendu en bon état, ne jamais le retrouver ou le récupérer abimé, en accusant l’autre, sans remettre en question que c’est sa peur ou sa projection de pensée qui ont attiré ce fait ?
Qui n’a jamais été trahi par une personne qu’il aimait particulièrement en accusant à son tour cette personne de traitre, alors que le vrai traitre est le programme de non confiance intérieure et de non manifestation de sa maitrise ?
Qui n’a jamais laissé à plus tard ce qu’il devait faire le jour même et blâmé le fait que rien n’avance, alors que la source de ce blocage est la procrastination, la paresse ou la dévalorisation extrême de soi ?
Nourrir le feu, s’approcher de trop près et l’accuser de brûler… c’est un comportement enfantin.
Le feu a sa raison et son droit d’être et d’affirmer sa propre nature. On peut l’aimer de loin, apprendre à le dominer et même le remercier de son aide.
Il en est de même pour tout ce qui nous dérange. On peut aimer des personnes, apprendre à les connaitre et a être bien avec, sans se brûler.
Si vous savez que votre voisin n’apprécie pas le ballon qu’envoie votre enfant et qui tombe sur ses fleurs… arrêtez de lui demander pardon tous les jours… car même si sa peur de voir ses fleurs abimée est grande et attire cela, ce n’est pas à vous de faire son travail de libération.
De votre côté, stoppez le fait ou la peur de déranger et de détruire la nature ou votre voisin, montez un filet de protection et apprenez à votre enfant à jouer différemment.
C’est en prenant des actions fortes que vous pouvez changer votre vie et donc celle des autres.
Observez ce que vous avez vécu cette année et libérez maintenant pour ne pas renouveler en 2014.
Prenez un temps d’introspection, osez parler avec les personnes impliquées, mettez les choses au clair, à plat. Aimez-vous, aimez les autres, mais soyez fermes dans vos décisions. Ne tergiversez plus !
L’année 2014 est une année spirituelle de réveil de l’humanité et de retour aux vraies valeurs.
Il est certain qu’elle va ‘brasser’ les consciences comme jamais auparavant car nous sommes dans l’an 2 du Nouveau Monde. Tout sera différent et plus les personnes se remettront en cause, reprendront leur maitrise et leur sagesse, épureront leur égo des miasmes de la dimension de la séparation et plus la lumière fera son effet sur la Terre.
Beaucoup de personnes, dont certaines qui ont des influences mondiales, vont vivre des illuminations spirituelles intérieures qui vont les transformer. Il y aura aussi des illuminations de groupes, de races, des pardons collectifs importants qui vont amener une épuration du passé et une glorification du présent.
Un grand nettoyage va avoir lieu partout sur la terre et un renversement de pouvoir qui sera, cette fois, partagé par le peuple.
L’humanité reprend son pouvoir, et ça risque de faire de grosses vagues chez ceux qui avaient l’habitude de la manipuler. Et comme tous les hommes ne sont pas encore dans le cœur et l’amour, mais dans la prise de conscience selon leur vibration… ça risque d’aller mal dans certains endroits.
Prenez le temps de vous centrer, chaque jour, à votre vraie nature. Aimez-vous, aimez le monde, aimez l’humanité, aimez la vie et créez-la en conscience telle que vous la voulez.
Faites tout ce qu’il faut pour. Agissez dès maintenant ! Chacun a un grand rôle à jouer pour élever toute l’humanité !
Que le meilleur soit !
Joéliah
© 2013, Le Jardin de Joeliah. Nétiquette : Laissez pousser les plants quelques jours puis partagez en toute liberté en citant la source : lejardindejoeliah.com



Pour les plus âgés, encore aujourd’hui, pour les Chrétiens, c’est depuis leur plus tendre enfance qu’ils entendent parler de la valeur du don. Pour eux, savoir donner et recevoir, cela fait naturellement partie du partage et de l’échange, tel que le stipule la Loi cosmique. Ainsi, pour la plupart, ils ont appris à donner assez spontanément, sans attente, sans compter, sans espoir de retour comme l’une des conditions de plaire à Dieu et de mériter leur salut, ce qui en fait, du reste, des victimes facilement exploitables par les jeunes. Ils devaient s’astreindre à donner à autrui, à échanger avec eux, à partager le meilleur de leur être, de leur temps et de leur avoir, à les aider quand ils étaient dans le besoin, même si cela ne leur convenait pas toujours ou s’ils n’en avaient pas le goût, s’imposant de se rendre disponibles, au détriment de leurs propres nécessités, par exemple lors de corvées d’entraide auprès de nécessiteux, après une catastrophe ou un cataclysme. Il leur fallait simplement donner comme témoignage d’amour ou de charité, de civisme, de solidarité, de fraternité, d’humanité, parce que, disait-on, il n’y avait rien de plus noble que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Mais les formateurs de l’époque ont bien peu parlé de la nécessité de savoir recevoir. Ils ont négligé d’expliquer qu’avant de donner, il faut avoir appris à recevoir. Car qui peut avoir sans avoir accepté de recevoir?
N’est-il pas étrange que ces gens, pourtant intelligents, aient appliqué la loi du don et du redon en insistant sur le don, mais en oubliant l’aspect du redon? Ainsi, ils ont imprégné la conscience de ceux qu’ils ont formés du principe du don, du partage et de l’aide à autrui, mais ils ont oublié l’aspect du rechargement, qui passe par le savoir recevoir dans le même amour, la même simplicité et la même dignité qu’il faut savoir donner.
Pourtant, celui qui donne, donne et donne encore, veillant à ne se recharger par lui-même, sous prétexte qu’il ne doit accepter de recevoir qu’en cas de dernière nécessité ou qu’il ne veut rien devoir aux autres, repousse la réalisation de ce qu’il désire ou de ce à quoi il aspire. L’échange à sens unique épuise et dévitalise, confinant à l’inanition… et à une disparition prématurée. Qui refuse ou néglige de recevoir dans le même état d’esprit qu’il sait donner se refuse le droit à la croissance, à l’expansion, à la prospérité, à la plénitude, d’où il ne peut que se flétrir et régresser.
En fait, c’est une manière de priver un auxiliaire d’incarnation du privilège de jouer son rôle fonctionnel d’instrument ou de véhicule de l’Approvisionnement divin, ce qui l’amène à s’écarter pour aller accomplir ailleurs sa mission, sans avoir pu s’identifier. Car, par contrat antérieur à l’incarnation, tout être incarné s’est fait accompagner d’auxiliaires lui permettant, s’il en maintient le choix, autant de développer ses compétences, d’affiner ses connaissances ou de démontrer les forces qu’il s’est découvertes, que d’accepter que d’autres suppléent aux carences qu’il porte dans d’autres domaines, puisqu’il ne peut tout apprendre et découvrir en une seule vie.
Il est certain que, pour éviter que l’eau d’une citerne, symbole ici de l’énergie omniprésente, stagne et se corrompe, il faut qu’elle circule constamment. Mais le fait de circuler constamment implique autant un dispositif d’évacuation qu’un autre d’alimentation. Car nulle citerne ne peut donner ce qu’elle ne contient pas ou ne contient plus : nulle citerne vide ne peut assurer la survie d’un assoiffé, encore moins d’un grand déshydraté. De même, tout appareil électrique fonctionnel comporte un dispositif d’entrée de l’énergie et un autre de sortie.
Dans toute communication, qu’elle soit de l’ordre de la conversation ou d’un autre ordre d’échange et partage, il faut deux pôles : un pôle émetteur et un pôle récepteur d’égale valeur. Dans l’ordre de la semence et de la moisson, un riche ne pourrait apprendre la nécessité et la grandeur de donner généreusement dans l’amour inconditionnel et impersonnel, sans jugement ni attente, s’il n’existait pas de pauvres. Il est aussi difficile de maîtriser la technique du véritable don amoureux que celle de la réception amoureuse. Après des années d’études, un médecin ne parviendrait pas à parfaire sa compétence sans l’existence des patients ou clients que sont les malades. Le diplôme d’enseignement d’un professeur ne servirait à rien, ne pouvant même pas lui servir de gagne-pain, s’il ne trouvait une institution lui permettant d’instruire d’éduquer des étudiants. De même, les parents qui ne peuvent procréer des enfants ou en adopter ne peuvent pas découvrir et comprendre grand-chose de ce rôle traditionnel de l’éducation, à part ce qu’ils peuvent saisir par l’observation de l’expérience d’autrui. Qui veut se divertir ou s’exercer au jeu du lancement d’une balle doit autant accepter de la lancer que de la saisir au vol, quand un partenaire de jeu la lui relance.
Celui qui dirige trop son énergie sur lui-même, ne sachant que prendre et accumuler, devient une citerne qui s’expose à exploser. Celui qui oriente trop son énergie vers les autres, ne sachant que remettre et donner, devient une citerne qui s’expose à imploser. Toute citerne doit rester ouverte à son niveau supérieur, comme à niveau inférieur, ce qui assure la libre circulation de ce qui y entre. Pour assurer que le niveau de l’eau y reste stable ou y augmente, il faut que le débit reste le même à l’entrée qu’à la sortie ou qu’il augmente à l’entrée.
Du reste, dans l’ordre du partage et de l’échange, un être ne doit partager que ses surplus, puisque la plus large part de ce qu’il s’attire doit servir à combler ses propres besoins, à lui assurer le nécessaire (qui est de l’ordre de la survie, même de la vie dans le bien-être) et l’essentiel (qui est de l’ordre de l’accomplissement personnel ou de l’évolution individuelle). Les vases communicants qui partagent par le bas amènent deux vases à s’équilibrer au point d’équilibre de ce que contiennent l’un et l’autre vases : la plupart du temps, l’un y perd beaucoup tandis que l’autre y gagne d’autant. Ceux qui partagent par le haut assurent que le vase le plus plein ne déverse dans l’autre que ce qui fait part de ses surplus, sans soustraire de la part qui assure sa propre efficacité et qui comble les besoins de sa propre vie : l’un partage, comblant une part de la vacuité de l’autre, mais sans s’appauvrir et sans s’exposer au danger de régresser, tandis que l’autre s’en trouve grandi ou enrichi.
Qui sait observer la Nature avec attention en tire toujours de salutaires leçons puisque tout se passe en haut comme en bas, mais de façon inversée. De même au Ciel, de même sur Terre, dans un Jeu amoureux éternel de réflexion du Sujet divin à son Objet, de son Image (sa Réalité) à sa Ressemblance (son Reflet ou sa Projection). Qu’une citerne reçoive trop par rapport à ce qu’elle émet ou qu’elle émette trop par rapport à ce qui l’alimente, il s’établit un déséquilibre inquiétant. Il en va ainsi de la vie que celui qui va faire ses courses ou ses emplettes gagne à apporter ses propres sacs lui permettant le transfert des denrées ou des biens d’un endroit à un autre. De même, celui qui veut recevoir doit préparer des paniers pour accueillir ce qu’il désire. Mais, dans toute transaction, comme dans tout achat, il devra offrir sa quote-part qui lui permet que l’échange se produise. Et il ne gagnerait rien à acheter des produits sans les rapporter à la maison, car ils ne les auraient pas au moment où il en aurait besoin.
Dans un univers où le Grand Approvisionneur cosmique, qui n’est nul autre que la Providence divine, s’exprime dans l’Unité, chacune des étincelles du Grand Tout doit être prête à recevoir les dons de la vie, comme à les partager avec ses semblables, voire avec toutes les créatures. L’acte de recevoir est aussi sacré et indispensable que celui de recevoir, et inversement. Tout ce qu’un être se voit proposer représente, en quelque sorte, un présent d’amour divin à travers l’un de ses instruments incarnés. À lui de déterminer s’il en a besoin ou pas, s’il lui convient ou pas, s’il capte la leçon qu’il peut en tirer.
Par sa loi de Causalité (action et réaction ou cause à effet), l’Univers ne comble que ceux qui savent trouver l’équilibre entre l’accueil et le don, s’ouvrant ensuite à l’accueil du retour tout en veillant immédiatement à la part de redon (environ dix pour cent de ce qui est reçu). Donner et recevoir font partie du même processus de partage et d’échange, sauf que l’acte de recevoir doit précéder celui de donner. N’est-ce pas le message que lance l’enfant nouveau-né, dans son dénuement et sa dépendance jusqu’à sa maturité?
Du reste, c’est même un service cosmique à rendre à ses compagnons d’incarnation que d’accepter de prendre ce qu’ils proposent d’offrir, si cela est d’une quelconque utilité ou d’un quelconque bénéfice. Il s’agit de recevoir, de bénir amoureusement, de partager et de rester ouvert à une plus grande abondance. C’est ainsi qu’un être apprend, en s’efforçant de lui ressembler, à devenir opulent comme son Créateur qui, à titre de Source de toute richesse, est d’une abondance infinie. Il suffit, même quand on a beaucoup, de continuer d’accueillir, de rester détaché de ce qu’on reçoit, de savoir remercier sincèrement pour ce qu’on est et pour ce qu’on possède déjà.
Nul être ne recevra jamais ce qu’il désire ou ce à quoi il aspire s’il ne s’ouvre pas à recevoir autant qu’il donne. Qui ne sait pas recevoir ne peut pas voir sa situation changer pour le mieux, attirer ce qu’il désire dans sa direction, car il exprime alors tacitement, en repoussant ce qui lui revient, le fait qu’il n’est pas digne de croître et de prospérer, qu’il ne mérite pas qu’il en soit ainsi pour lui. Il en est de même lorsqu’il économise inutilement : il proclame qu’il n’a pas droit à ce qui est cher, coûteux, onéreux ou qu’il n’est pas digne de se procurer une réalité au prix demandé. Il s’évalue à rabais, payant, par un retour de plus grande pénurie, le prix de sa piètre évaluation.
Car il appartient à chacun de s’évaluer dans l’accomplissement de ses œuvres, pas à Dieu. Ce qui fait la différence entre un riche et un pauvre, c’est que le riche sait se donner, se permet de dépenser sans compter, dénué de toute peur du manque, alors que le pauvre se croit emprisonné dans son rôle misérable pour la vie. De par l’arbitraire du destin, il se croit né pour un petit pain, il se fait valet au pays des rois. Pourtant, celui qui se réduit, jusqu’à se faire tapis, n’a pas à se surprendre qu’on s’essuie les pieds sur lui.
Comme je l’ai appris dans ma propre expérience, celui qui donne trop se dévitalise et s’appauvrit et il s’expose à l’ingratitude des autres au point, après trop de blessures apparemment injustes, de devoir s’isoler un jour dans une solitude amère. Les autres prennent trop rapidement pour un dû ce qui représente une offre gracieuse et un surplus dans leur vie, mais qui est fourni ou présenté régulièrement. Il est peu apprécié, dans son être et dans ses créations, parce qu’il s’évalue à rabais, s’installant dans un certain état d’infériorité, même si son motif secret consiste, dans sa dépendance affective, à acheter l’amour d’autrui. Nul n’accorde une grande valeur à ce qu’il réussit à se procurer à vil prix. Mais, dans un juste retour, c’est se faire bien payer pour son incompréhension de la dynamique de la vie.
En revanche, celui qui ne donne pas assez, s’attire la suspicion sur ses intentions. Considéré comme un égoïste, un exploiteur, un pilleur, un prédateur, il est repoussé, isolé. Souvent, dans sa possessivité et son accaparement, c’est lui qui, comme un misanthrope, choisit de s’écarter des autres par peur de se faire prendre injustement. Il s’assèche, il se crispe comme un rapace, il devient suspicieux, sévère et hargneux, très diviseur. Il voit un ennemi potentiel dans tout être qui l’approche. Pourtant, curieusement, c’est souvent l’être le plus généreux qui est le plus suspecté d’exploiter les autres. Mais cela, c’est une autre histoire…
N’est-il pas étonnant que des gens dépenses autant en achats superflus, vains et inutiles, qui ne servent qu’à masquer les apparences, à perpétuer la dualité, à renforcer la densité ou à entretenir les illusions, notamment la peur de vieillir et de s’enlaidir, alors qu’ils n’ont jamais d’argent pour se procurer les documents qui pourraient les instruire et former leur conscience à un plus grand bonheur et à une plus grande plénitude. Et ce sont souvent les Européens qui sont les plus pingres, les plus subtils et les meilleurs dans cette tentative de prédation.
Ainsi, combien de fois les gens ne me font-ils pas savoir, dans un désir de m’émouvoir de leur sort et de m’amener à leur fournir mes documents gratuitement : «Pour avoir lu certains de vos document inspirés, je sais à quel point ils sont pertinents et instructifs. Mais, à mon grand déplaisir, parce que je suis étudiant ou autre chose, je dois admettre que je n’ai pas l’argent pour me les procurer». Et si je ne m’exécute pas, on me boude, on se retire de la liste d’amis virtuels, on ne donne plus de nouvelles, on passe ailleurs pour reproduire son frauduleux manège.
Même chez les gens qui se disent éveillés, on veut tout obtenir pour rien, en oubliant qu’on ne peut prospérer que par la semence et la récolte. Tel on évalue un autre, tel on est évalué. Alors, basta! Ce ne sont là que des balivernes qui surgissent, chez un être ignorant, tiède ou indécis, de l’incompréhension des lois de la Vie! Se procurer ce qui fait le nécessaire assure la survie, mais se procurer ce qui représente l’essentiel, fait la vie, permet d’être vraiment. C’est ce qui ouvre la conscience et rapproche de l’accomplissement. Et cela, c’est question de savoir ce qui importe le plus de manière à bien établir ses priorités. Si j’avais agi ainsi, du temps de ma formation, je ne serais toujours qu’un endormi qui se prend pour un éveillé, pour avoir tenté de spolier en vain le savoir d’autrui. Ce qu’on ne sait pas apprécier à sa juste valeur ne rapporte jamais les bénéfices escomptés.
Investir où cela importe, c’est un don amoureux qu’on se doit à soi-même. Chacun gagne à savoir se procurer au prix indiqué ce qu’il juge important pour son évolution. Pourquoi un autre accomplirait-il ce geste gracieux à son endroit quand, dans sa peur de la pénurie, il n’a pas le courage de se donner à lui-même et ne fait pas confiance en l’Approvisionnement universel? En cela, la cause précède l’effet.
Recevoir, c’est se préparer à donner, quand donner, c’est se préparer à recevoir plus encore. Autrement dit, ici-bas, tout être reçoit pour donner et il reçoit par la suite dans la même mesure qu’il continuer de recevoir, tout en acceptant de redonner. C’est la seule manière de maintenir l’énergie vitale en circulation et de l’amener à se multiplier au centuple, dans la mesure où le don est accompli dans la pureté d’intention, la spontanéité, la sincérité, la confiance, l’amour, le détachement, le non-jugement, donc sans attentes ni arrière-pensées.
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